Une édition de Climate Chance décentralisée en Asie du Sud Est et Pacifique en 2018

Pierre CALAME, août 2017

Exposé des motifs :

Le principe d’une édition de Climate Chance dans le pays qui assure la Présidence annuelle de la COP ou la région du monde dont elle fait partie est un bon moyen de :

  • internationaliser réellement Climate Chance ;

  • intéresser les acteurs locaux à la tenue de l’événement ;

  • donner une visibilité forte (présence des champions, lien avec l’Agenda des solutions, mobilisation médiatique).

La présidence de la COP23 par les Iles Fidji offre la possibilité que Climate Chance mobilise une des régions du monde les plus concernées par le Changement Climatique. Mais Fidji elle-même est trop petite pour envisager l’organisation sur son territoire d’un événement de l’ampleur de Climate Chance.

La solution adoptée en conséquence pour la COP elle-même, avec la tenue de la conférence à Bonn sous présidence fidjienne, n’est pas une solution très heureuse. Elle montre néanmoins que dans la région Pacifique il n’existait pas de partenaire assez neutre pour être préféré à Bonn.

Les deux solutions alternatives pour Climate Chance, organiser un mini Climate Chance à Fidji même ou organiser hors Fidji un événement unique dans un des grands pays du Pacifique ne sont pas satisfaisantes. D’où l’idée d’un Climate Chance Asie du Sud Est Pacifique décentralisé, chaque pays ou région d’un pays accueillant des ateliers sur un des thèmes du sommet annuel.

telechargement climate_chance_decentralise.pdf (66 Kio)